procrastination
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Ferais-je aujourd'hui quelque chose que je pourrais faire demain ?


Une personne responsable a plusieurs choses à faire au lieu de paresser. On pourrait ratisser les feuilles, jeter les journaux dans la poubelle à papier, appeler sa mère ou aller au magasin pour acheter de la nourriture pour chien. Mais non, te voilà, avachi sur le canapé. Voilà qui est juste. Si on laisse les feuilles sur le gazon une semaine de plus, elles vont pourrir. Je suppose qu'il en sera de même pour les journaux avec le temps. Maman appellera de toute façon. Le chien est déjà trop gros de toute façon. La formule mesure combien il serait difficile de le faire maintenant et combien cela serait difficile demain, la semaine prochaine ou l'année prochaine. Elle évalue également les effets psychologiques de faire ou de ne pas faire ces tâches.



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E 5


K = degré de catastrophe si la mission n'est pas exécutée du tout (1-10 pour une urgence mondiale).

P = Combien de jours pouvez-vous postposer la tâche ?

M = Quelle est la probabilité que quelqu'un d'autre finisse par accomplir la tâche ? (1-10, où 1 = 0 % et 10 = 100 %).

V= Dans quelle mesure ce « quelqu'un d'autre » sera-t-il en colère contre vous une fois le travail terminé ? (1-10).

E= Dans quelle mesure est-il désagréable de faire ce travail ? (1-10, 10 étant « vider un urinoir en pleine chaleur »)

L = Est-il plus facile ou plus difficile d'accomplir la tâche en se relâchant ? Si c'est plus facile, mettez un nombre négatif entre 1 et 5 dans l'équation. Si cela devient plus difficile, mettez un nombre positif entre un et cinq dans l'équation.

H = Vos antécédents de relâchement, de 0 à 10, 10 étant votre « paresse innée ».

Si T plus grand que 1, il est préférable de commencer relativement immédiatement.